vendredi 29 juin 2018

L'anesthésiste se trompe de produit, elle devient paraplégique

Après une chirurgie urologique à Ermont dans le Val d'Oise en janvier dernier, une femme s'est réveillée de cette intervention paraplégique.
Elle aurait été victime d'une erreur médicale selon RTL.
L'anesthésiste se serait trompé au moment de l'injection pour l'endormir. Il lui aurait administré un puissant antibiotique dans la moelle épinière au lieu d'un produit anesthésiant.

Coma pendant six jours

La patiente est restée dans le coma pendant six jours et à son réveil comme elle le confie au micro de RTL, elle "n'entendait plus rien, ne voyait pas très bien et ne parlait pas bien du tout".
Toujours selon la radio, l'avocate de la victime va déposer une plainte la semaine prochaine pour "violences et blessures involontaires".
"Je sais que l'argent ne me ramènera pas mes jambes, mais ça me permettra au moins d'aménager ma maison", a-t-elle confié.
A la Une https://www.dna.fr/

jeudi 28 juin 2018

SUR-ACCIDENT 77 | RN2 - ROISSY CDG

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14:35 [SUR-ACCIDENT]
77 | N2 - ROISSY CDG
Sens : Soissons vers Paris.
➡️ 1VL - PL impliqués
🔴 Accident certainement dû au 1è l’accident de 14:00.


samedi 6 janvier 2018

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Le Jardin Exotique "centre d 'accueil pour petits primates"


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samedi 16 juillet 2016

Tentative de coup d'État en Turquie: le point sur une nuit de chaos

Alors que des putschistes de l'armée ont tenté vendredi soir de prendre le pouvoir avec des avions de chasse et des chars, semant la confusion dans le pays, le président Recep Tayyip Erdogan semblait samedi matin reprendre la main. Le Figaro fait le point sur la confusion qui règne à Ankara et Istanbul.
• Vendredi, 22 heures (heure française): des putschistes tentent de renverser le gouvernement
Le premier ministre turc dénonce une «tentative illégale» de renverser le gouvernement par un groupe au sein de l'armée, qui se joue depuis le début soirée. Selon les premières informations, les militaires putschistes investissent les ponts, les chaînes de télévision et bloquent les aéroports de la capitale Ankara et à Istanbul. Via un communiqué, lu par un présentateur de la chaîne publique, ils annoncent que le gouvernement a été renversé et que la loi martiale ainsi qu'un couvre-feu ont été instaurés. Le texte précise que le putsch a été mené «afin d'assurer et de restaurer l'ordre constitutionnel, la démocratie, les droits de l'homme et les libertés, et laisser la loi suprême du pays prévaloir».
Suivez notre live sur la tentative de coup d'État en Turquie
• Vendredi, 23h30: Erdogan dénonce le soulèvement d'une minorité de l'armée
Dans une allocution diffusée via l'application de visioconférence FaceTime, le président Erdogan s'adresse à la nation et dénonce le «soulèvement d'une minorité au sein de l'armée». «Je ne pense absolument pas que ces putschistes réussiront», estime l'homme fort de Turquie. Il appelle les Turcs à descendre dans les rues pour résister à la tentative de coup d'État.
À son arrivée à l'aéroport d'Istanbul peu avant 3 heures, après avoir interrompu ses vacances, il est accueilli par une foule nombreuse. Il dénonce une «trahison» et blâme les adeptes de son ennemi Fethullah Gülen. Ce dernier condamnera pourtant dans la nuit «dans les termes les plus forts» cette tentative de coup d'État.
En Turquie, une longue histoire de coups d'État militaires
• Samedi, 00h30: des chars déployés autour du Parlement à Ankara
Des chars de l'armée sont déployés autour du Parlement turc, après des bombardements le visant. Plusieurs violentes explosions sont entendues dans la capitale turque, accompagnées de coups de feu dans le centre-ville. Des avions de chasse survolent incessammment à basse altitude la métropole, selon des journalistes de l'AFP.
Vers 1 heure, alors que la confusion règne plus que jamais, le premier ministre turc annonce que la situation est largement sous contrôle. Il n'y a pas d'inquiétude à avoir, le gouvernement est toujours aux affaires, assure Binali Yildirim, invitant à son tour la population à descendre dans les rues après la tentative de putsch qu'il a imputée à des «traîtres».
• Samedi, 3 heures: les premiers putschistes déposent les armes à Istanbul
Une trentaine de militaires putschistes déposent les armes après avoir été cernés par la police, place Taksim, au centre d'Istanbul, selon un journaliste de Reuters sur place. Ils sont emmenés dans des fourgons tandis qu'un avion de chasse survole la ville à basse altitude. Trois heures plus tard, une unité de l'armée turque composée de près de 60 soldats rebelles qui avait investi dans la nuit l'un des ponts suspendus enjambant le Bosphore à Istanbul, se rend à son tour aux forces de sécurité.
• Samedi, 6h15: l'heure des premiers bilans
Au moins 60 personnes, dont de nombreux civils, ont été tuées, indique un responsable turc. Il ajoute que les forces de sécurité turques ont arrêté 336 personnes, pour la plupart des militaires, en lien avec cette tentative. L'agence de presse progouvernementale Anadolu annonce de son côté l'arrestation de 754 militaires. Cinq généraux et 29 colonels ont par ailleurs été démis de leurs fonctions sur ordre du ministre de l'Intérieur Efkan Ala.
Le premier ministre turc annonce de son côté avoir nommé un nouveau chef d'état-major par intérim, pour remplacer le général Hulusi Akar prisonnier des putschistes. Sa libération sera finalement annoncée vers 7h30 heure française.
Les rebelles se montrent décidés à poursuivre leur combat, selon un courrier électronique portant l'adresse du service de presse de l'état-major des armées. Les rebelles, qui se présentent sous le nom de Mouvement pour la paix intérieure, appellent en outre les civils à rester chez eux.
• Tout au long de la nuit, l'inquiétude grandit au sein de la communauté internationale
Très vite, à la suite de l'annonce de la tentative de coup d'État, les pays du monde entier manifestent leur inquiétude face à la situation en Turquie. Le ministère des Affaires étrangères français, Jean-Marc Ayrault, demande à ses ressortissants en Turquie de ne pas sortir. La chef de la diplomatie européenne, Federica Mogherini, appelle de son côté à la «retenue» et au «respect des institutions démocratiques» en Turquie. Le président américain, Barack Obama, demande à soutenir le gouvernement turc «démocratiquement élu» et à «éviter violence et bain de sang», selon un communiqué de la Maison Blanche. En Russie, le chef de la diplomatie Sergueï Lavrov appelle à éviter «tout affrontement meurtrier».
http://www.lefigaro.fr/international/index.php

Coup d'Etat en Turquie : au moins 60 morts et 754 militaires en lien avec la tentative de putsch arrêtés

Vendredi soir, un groupe de l'armée a annoncé avoir pris le pouvoir en Turquie pour "le maintien de l'ordre et des droits de l'homme". D'abord "sous contrôle", la tentative de coup d'État aurait coûté la vie à au moins 60 personnes. 754 militaires ont par ailleurs été arrêtés.
La panique s'est emparée vendredi soir d'Istanbul après que l'armée a fermé les ponts qui enjambent le Bosphore et relient les rives asiatique et européenne. Les soldats ont tiré sur la foule, qui tentait de franchir le pont Fatih Sultan Mehmet à pied, et ont essayé de prendre le pouvoir pour, disent-ils, "le maintien de l'ordre et des droits de l'homme" et "pour rétablir la démocratie".
Samedi matin, ce sont 754
militaires qui ont été arrêtés en lien avec le putsch qui semblait maté. Il a coûté la vie à au moins 60 personnes, indique une agence de presse progouvernementale Anadolu. En outre, cinq généraux et 29 colonels ont été démis de leurs fonctions sur ordre du ministre de l'Intérieur Efkan Ala, a précisé l'agence. 
 

samedi 30 janvier 2016

Thomas Fabius mis en examen pour faux et usage de faux

Thomas Fabius, fils du ministre des Affaires étrangères, a été mis en examen vendredi pour faux et usage de faux, pour des faits présumés en lien avec sa passion pour les casinos, a appris ce samedi l'AFP de sources judiciaire et proche du dossier.
Il a en revanche échappé à une mise en examen pour escroquerie, blanchiment de fraude fiscale, abus de confiance, abus de biens sociaux, les magistrats financiers parisiens le plaçant sous le statut de témoin assisté pour ces chefs. Les juges ne l'ont pas soumis à un contrôle judiciaire, ont précisé les sources.
>> A lire aussi : Le parcours de Laurent Fabius
C'est sa passion du jeu qui est à l'origine des ennuis judiciaires de Thomas Fabius, 34 ans, et de la procédure, ouverte fin 2011 par une plainte de la Société générale.
La banque accusait le jeune homme d'avoir édité un faux mail alors qu'il se trouvait au Maroc. «D'après cette plainte, le courriel avait été prétendument rédigé par son conseiller bancaire et laissait croire à un casino marocain que Thomas Fabius allait être prochainement destinataire de 200.000 euros», a décrit une source proche de l'enquête.

Ennnuis avec la justice américaine

Durant leurs investigations, les enquêteurs se sont intéressés au train de vie de Thomas Fabius, et notamment aux conditions d'acquisition en 2012 d'un appartement de près de 300 m2, situé boulevard Saint-Germain en plein coeur de Paris, pour sept millions d'euros. Cette transaction avait fait l'objet d'un signalement à la cellule antiblanchiment de Bercy, Tracfin.
Mais Thomas Fabius a toujours assuré que ce bien avait été financé légalement, pour partie par des gains de jeu et pour partie par un emprunt bancaire. Outre la procédure en France, le fils de Laurent Fabius a des ennuis avec la justice américaine. Un procureur du Nevada a délivré fin octobre un mandat d'arrêt, qui n'est toutefois pas exécutoire hors du territoire américain.

Chèques en bois

Thomas Fabius est accusé d'avoir rédigé des chèques en bois d'un montant total de plus de 3,5 millions de dollars (3,2 millions d'euros) dans plusieurs casinos de Las Vegas, à la mi-2012. Selon le procureur du Nevada, il semble avoir été pris d'une frénésie d'achat de jetons et de plaques de casino, rédigeant des chèques à répétition.
Utilisant un chéquier de la banque italienne Banca Monte dei Paschi di Siena, il avait notamment libellé trois chèques à l'ordre de l'hôtel de luxe-casino The Palazzo, dont un d'un million de dollars, d'après le procureur américain. Selon une source proche du dossier, Thomas Fabius explique qu'«il ne s'agit pas de chèques, mais de reconnaissances de dettes rédigées sur papier libre et qui ont valeur de bon à payer».
Sollicité samedi, l'entourage de Thomas Fabius n'a pas souhaité réagir.
http://www.20minutes.fr/societe/1776299-20160129-thomas-fabius-entendu-juge-enquete-faux-escroquerie-blanchiment

vendredi 27 novembre 2015

Affaire Valbuena : Valbuena accuse Benzema de l'avoir "indirectement" incité à payer

Il n'avait encore jamais pris la parole publiquement pour commenter l'affaire, qui secoue sa vie et le vestiaire de l'équipe de France de football. Mathieu Valbuena, au centre d'une affaire de chantage à la sextape dont il a été victime, a accordé une interview au Monde, parue vendredi 27 novembre. Le joueur y explique le déroulé des faits et ne vole pas vraiment au secours de son coéquipier en bleu, Karim Benzema, soupçonné d'avoir joué les intermédiaires entre les maîtres-chanteurs et le joueur de l'OL. Bien au contraire.
Mathieu Valbuena accuse ainsi Karim Benzema de l'avoir "indirectement" incité à payer. "Inciter, ça veut dire : 'Il va falloir que tu payes.' Indirectement", répond-il au journaliste qui lui demande si l'avant-centre du Real Madrid ne l'a pas simplement incité à voir les maîtres-chanteurs, sans faire réellement pression sur lui.

"Je ne peux être que très très très déçu"

"Dans sa façon de parler, il n'a pas été agressif, il ne m'a pas parlé d'argent concrètement, directement, mais quand tu insistes pour me faire rencontrer quelqu'un... pffff. Moi, j'ai jamais vu quelqu'un qui va faire détruire une vidéo gratuitement juste parce qu'il m'adore ! Faut éviter de prendre les gens pour des idiots, ajoute Mathieu Valbuena. Je ne peux être que très très très déçu, et constater que la relation avec Karim, elle n'est pas aussi sincère qu'il pouvait peut-être le prétendre."
Karim Benzema a été mis en examen notamment pour "complicité de tentative de chantage", avec interdiction de rencontrer Mathieu Valbuena. Une mesure qui prive de fait l'équipe de France d'un duo clé. Le milieu de terrain, lui, se voit continuer à jouer en Bleu : "C’est sûr qu’il y a un après, mais ce qui est certain aujourd’hui, c’est que moi, je suis victime. Maintenant, jouer pour mon pays, c’est toujours quelque chose d’extraordinaire pour moi, c’est ma bouffée d’oxygène."

"Même à mon pire ennemi, je ne ferais pas ça"

Face aux insultes de Karim Benzema, relevées lors des écoutes policières, Mathieu Valbuena tranche : "A un moment, je ne peux pas défendre l’indéfendable. Même à mon pire ennemi, je ne ferais pas ça." Pourtant, il n'écarte pas l'idée d'évoluer dans le futur en bleu avec l'avant-centre du Real Madrid. "Jouer avec des gens avec qui je ne me suis pas bien entendu, à Marseille, je l’ai fait." 
Une référence implicite à Samir Nasri, qui entretenait de mauvaises relations avec Mathieu Valbuena lorsqu'ils jouaient ensemble à l'OM. D'après Le Monde, l'ex-Marseillais, aujourd'hui à Manchester City, se serait d'ailleurs proposé pour jouer, lui aussi, les intermédiaires à la place de Karim Benzema, ce que ne dément pas Mathieu Valbuena.
Le footballeur lyonnais n'épargne pas non plus la Fédération française de football, qui a officiellement soutenu Karim Benzema : "Je n’ai pas eu de soutien. Quand on ne sait pas ce qu’il y a dans le dossier, qu’on puisse défendre Karim, OK, mais qu’on parle aussi de moi ! Encore une fois, dans cette histoire, je suis victime

http://www.francetvinfo.fr/sports/foot/affaire-de-chantage-contre-valbuena/

lundi 23 novembre 2015

Belgique: 5 interpellations supplémentaires

Cinq personnes ont été interpellées ce matin à l'occasion de nouvelles opérations antiterroristes dans la région de Bruxelles et de Liège (sud-est de la Belgique), ce qui porte à 21 le nombre total d'arrestations depuis dimanche soir, a annoncé le parquet fédéral.

"Dans le cadre de l'opération menée hier (dimanche) soir, cinq perquisitions supplémentaires ont été effectuées ce matin en région bruxelloise et deux en région liégeoise. Cinq personnes ont été privées de liberté lors de ces perquisitions", a indiqué le parquet dans un communiqué
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/11/23/97001-20151123FILWWW00113-belgique-5-interpellations-supplementaires.php