Rien ne va plus entre Liliane Bettencourt et sa fille. L'héritière de L'Oréal est prête à la "guerre nucléaire" avec sa fille Françoise et a donné pour consigne à ses avocats d'engager des démarches pour révoquer l'accord conclu avec elle en décembre dernier, rapporte le Journal du Dimanche.
"Qu'on la laisse tranquille"
L'avocat de Liliane Bettencourt déclare vouloir d'abord saisir la chambre de l'instruction de Bordeaux, où est maintenant traité le dossier Bettencourt, pour demander la "nullité d'une expertise médicale" de Liliane Bettencourt menée en juin dans des conditions contestées par les avocats de la milliardaire. Sur la base de l'expertise, le parquet de Bordeaux a pourtant chargé les juges d'instruction d'étudier les abus de faiblesse dont aurait pu être victime Liliane Bettencourt depuis 2006. "Ensuite, je réfléchis, je reverrai Mme Bettencourt", poursuit Me Farthouat, apparemment soucieux d'éviter d'envenimer les choses. "Je ne suis pas du genre à mettre de l'huile sur le feu", a-t-il dit. Ce que veut Liliane Bettencourt, selon lui, c'est "qu'on la laisse tranquille". Pas de chance pour elle, la juge des tutelles de Courbevoie (Hauts-de-Seine) doit décider mardi de placer ou non sous protection Liliane Bettencourt, qui souffre à 88 ans d'une maladie cérébrale et est en conflit ouvert avec sa fille.
Après un accord de réconciliation très médiatisé conclu en décembre dernier, la guerre entre mère et fille avait repris en juillet, lorsque Françoise Bettencourt-Meyers avait déposé une nouvelle requête en justice, accusant le mandataire financier de sa mère de conflit d'intérêt. Liliane Bettencourt avait répliqué en conseillant à sa fille, "un peu dérangée", de "voir un psy". Dans un entretien accordé à l'animateur Marc-Olivier Fogiel, qui sera diffusé dimanche sur M6, Liliane Bettencourt promet elle-même de "beugler" si elle est placée sous tutelle, une "imbécillité monstre" selon elle. La milliardaire affirme par ailleurs dans l'entretien qu'elle n'a pas donné d'argent à Nicolas Sarkozy pour financer sa campagne pour la présidentielle de 2007. "Franchement, non", dit-elle.
L'avocat de Liliane Bettencourt déclare vouloir d'abord saisir la chambre de l'instruction de Bordeaux, où est maintenant traité le dossier Bettencourt, pour demander la "nullité d'une expertise médicale" de Liliane Bettencourt menée en juin dans des conditions contestées par les avocats de la milliardaire. Sur la base de l'expertise, le parquet de Bordeaux a pourtant chargé les juges d'instruction d'étudier les abus de faiblesse dont aurait pu être victime Liliane Bettencourt depuis 2006. "Ensuite, je réfléchis, je reverrai Mme Bettencourt", poursuit Me Farthouat, apparemment soucieux d'éviter d'envenimer les choses. "Je ne suis pas du genre à mettre de l'huile sur le feu", a-t-il dit. Ce que veut Liliane Bettencourt, selon lui, c'est "qu'on la laisse tranquille". Pas de chance pour elle, la juge des tutelles de Courbevoie (Hauts-de-Seine) doit décider mardi de placer ou non sous protection Liliane Bettencourt, qui souffre à 88 ans d'une maladie cérébrale et est en conflit ouvert avec sa fille.
Après un accord de réconciliation très médiatisé conclu en décembre dernier, la guerre entre mère et fille avait repris en juillet, lorsque Françoise Bettencourt-Meyers avait déposé une nouvelle requête en justice, accusant le mandataire financier de sa mère de conflit d'intérêt. Liliane Bettencourt avait répliqué en conseillant à sa fille, "un peu dérangée", de "voir un psy". Dans un entretien accordé à l'animateur Marc-Olivier Fogiel, qui sera diffusé dimanche sur M6, Liliane Bettencourt promet elle-même de "beugler" si elle est placée sous tutelle, une "imbécillité monstre" selon elle. La milliardaire affirme par ailleurs dans l'entretien qu'elle n'a pas donné d'argent à Nicolas Sarkozy pour financer sa campagne pour la présidentielle de 2007. "Franchement, non", dit-elle.
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