La Turquie a décidé d'expulser de l'ambassadeur d'Israël à Ankara et de suspendre tous ses accords militaires avec l'Etat hébreu, a annoncé vendredi le ministre turc des Affaires étrangères Ahmet Davutoglu.
"A ce stade, nous prenons les mesures suivantes : les relations entre la Turquie et Israël sont ramenées au niveau de deuxième secrétaire (d'ambassade). Tous les responsables ayant un rang supérieur à celui de deuxième secrétaire, comme l'ambassadeur, rentreront dans leur pays avant mercredi", a déclaré M. Davutoglu.
Ankara a également suspendu l'ensemble de ses accords militaires avec Israël.
Mise oeuvre du "plan B"
La Turquie avait annoncé début septembre qu'elle mettrait en oeuvre son "plan B" de sanctions contre Israël si ce pays s'obstinait à ne pas s'excuser à la suite du raid israélien contre une flottille pour Gaza qui avait coûté la vie à neuf Turcs en 2010.
Cette crise a fait l'objet d'un rapport de l'ONU qui souligne que l'opération de la marine israélienne était "excessive", mais reconnaît la légalité du blocus naval.
Israël a déclaré qu'elle accepterait ce rapport avec des "réserves ponctuelles".
http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/monde/20110902.OBS9687/la-turquie-expulse-l-ambassadeur-israelien.html
Revue de presse nationale et internationale Des faits divers de société Des informations insolites
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samedi 3 septembre 2011
vendredi 26 août 2011
Jihad: "Plus d'attaques, plus de roquettes"
Le mouvement radical palestinien Jihad islamique a déclaré aujourd'hui à Gaza qu'il stopperait les tirs de roquettes sur le territoire israélien "si Israël stoppe ses attaques", après une nouvelle flambée de violences ces dernières 24 heures.
"Si Israël stoppe ses attaques, la résistance palestinienne mettra fin aux tirs de roquettes. Nous ne voulons pas une escalade, mais s'il y a la moindre agression israélienne, nous riposterons", a déclaré à l'AFP un porte-parole du Jihad islamique à Gaza, Daoud Shihab.
Israël et le Jihad islamique se sont engagés dans un nouveau cycle de représailles après la mort d'un militant des Brigades Al-Qods, la branche armée du Jihad islamique, tué mercredi dans une frappe israélienne, suivie de tirs de roquettes et de mortiers contre Israël et de raids aériens israéliens.
Cette confrontation armée, qui a fait 6 morts palestiniens et un blessé israélien, menace sérieusement la trêve tacite entre le mouvement islamiste Hamas, qui contrôle la bande de Gaza et Israël.
"Maintenant la situation est ouverte. Il n'y a pas de garantie qu'elle soit sous contrôle", a reconnu dans une interview à l'AFP à Gaza le vice-ministre des Affaires étrangères Ghazi Hamad, tout en assurant qu'"il est dans l'intérêt et de la responsabilité du gouvernement du Hamas de rétablir le calme".
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/08/25/97001-20110825FILWWW00481-jihad-plus-d-attaques-plus-de-roquettes.php
"Si Israël stoppe ses attaques, la résistance palestinienne mettra fin aux tirs de roquettes. Nous ne voulons pas une escalade, mais s'il y a la moindre agression israélienne, nous riposterons", a déclaré à l'AFP un porte-parole du Jihad islamique à Gaza, Daoud Shihab.
Israël et le Jihad islamique se sont engagés dans un nouveau cycle de représailles après la mort d'un militant des Brigades Al-Qods, la branche armée du Jihad islamique, tué mercredi dans une frappe israélienne, suivie de tirs de roquettes et de mortiers contre Israël et de raids aériens israéliens.
Cette confrontation armée, qui a fait 6 morts palestiniens et un blessé israélien, menace sérieusement la trêve tacite entre le mouvement islamiste Hamas, qui contrôle la bande de Gaza et Israël.
"Maintenant la situation est ouverte. Il n'y a pas de garantie qu'elle soit sous contrôle", a reconnu dans une interview à l'AFP à Gaza le vice-ministre des Affaires étrangères Ghazi Hamad, tout en assurant qu'"il est dans l'intérêt et de la responsabilité du gouvernement du Hamas de rétablir le calme".
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/08/25/97001-20110825FILWWW00481-jihad-plus-d-attaques-plus-de-roquettes.php
mardi 23 août 2011
Israël et le Hamas concluent une trêve
Après quatre jours de confrontations entre les groupes armés de la bande de Gaza et l'armée israélienne, les belligérants ont convenu hier d'un cessez-le-feu.
Les principales factions de Gaza sont parvenues à un «accord informel» sur une trêve à condition qu'Israël cesse ses frappes contre l'enclave palestinienne, a précisé un représentant du Hamas.
Depuis quatre jours, un total de 15 Palestiniens ont été tués et une quarantaine ont été blessés dans des raids aériens. Israël a déploré samedi un premier mort depuis la reprise des violences et compte maintenant une vingtaine de blessés.
La ville de Beer Sheva, à 35 km de la bande de Gaza, a essuyé un barrage de roquettes samedi et hier. Un homme a été tué par le fragment d'une bombe dans une rue résidentielle.
Lior Jorge, rencontré à l'hôpital Saroka de Beer Sheva, estimait avoir eu plus de chance, malgré ses bandages aux deux jambes. Samedi dernier, il marchait avec un ami quand il a entendu l'alarme préventive d'un bombardement. Ils savaient qu'ils n'avaient qu'une minute pour se mettre à l'abri, mais ils étaient trop loin pour rejoindre une des pièces fortifiées, obligatoires dans les maisons de la région.
«J'ai vu beaucoup de lumières dans le ciel, alors je me suis relevé, croyant que le missile était intercepté et que c'était fini. Ensuite, une roquette est tombée sur une voiture et j'ai vu beaucoup de sang. J'ai reçu des morceaux de shrapnels (fragments d'une bombe) dans les jambes. J'ai vu la jambe coupée de mon ami», raconte le jeune homme de 24 ans.
Les habitants de Beer Sheva restaient sur le qui-vive hier soir, malgré les rumeurs d'un cessez-le-feu. Le matin même, une roquette s'était abattue sur le toit d'une école.
«Nous espérons un cessez-le-feu, et même plus: la paix, a dit le directeur des relations externes de la municipalité de Beer Sheva, Ishay Avital. Mais nous sommes pragmatiques et nous savons qu'un cessez-le-feu sera très limité. Ce sera jusqu'à la prochaine fois.»
La branche armée du Hamas, les Brigades Al-Qassam, ont revendiqué le tir de plusieurs roquettes Grad en Israël, une première depuis la trêve d'avril dernier.
Les activités réunissant plus de 500 personnes - matches de soccer, journée d'orientation scolaire, concerts - ont été annulées jusqu'à nouvel ordre.
Tensions avec l'Égypte
Joint au téléphone vendredi soir à Gaza, le journaliste Hassan Jaber avait confié que les gens étaient «terrifiés». «Les gens ont peur que ce soit la guerre, dit-il. Ils essaient d'apporter du gaz et de la nourriture à leurs maisons, parce qu'ils craignent de nouvelles attaques.»
Mais la bande de Gaza n'est pas le seul point de friction avec les Israéliens. La tension a monté d'un cran avec le voisin égyptien après le refus du ministre de la Défense israélien de présenter ses excuses à l'Égypte pour la mort de cinq de ses policiers - il a plutôt exprimé ses «regrets». Les agents ont été tués jeudi dernier à la frontière israélo-égyptienne après une série d'attaques contre des Israéliens. Ce sont d'ailleurs ces événements qui ont causé la présente escalade, le gouvernement israélien affirmant que des groupes radicaux ont pénétré en Israël depuis la bande de Gaza via l'Égypte.
http://www.cyberpresse.ca/international/moyen-orient/201108/22/01-4427781-israel-et-le-hamas-concluent-une-treve.php
Depuis quatre jours, un total de 15 Palestiniens ont été tués et une quarantaine ont été blessés dans des raids aériens. Israël a déploré samedi un premier mort depuis la reprise des violences et compte maintenant une vingtaine de blessés.
La ville de Beer Sheva, à 35 km de la bande de Gaza, a essuyé un barrage de roquettes samedi et hier. Un homme a été tué par le fragment d'une bombe dans une rue résidentielle.
Lior Jorge, rencontré à l'hôpital Saroka de Beer Sheva, estimait avoir eu plus de chance, malgré ses bandages aux deux jambes. Samedi dernier, il marchait avec un ami quand il a entendu l'alarme préventive d'un bombardement. Ils savaient qu'ils n'avaient qu'une minute pour se mettre à l'abri, mais ils étaient trop loin pour rejoindre une des pièces fortifiées, obligatoires dans les maisons de la région.
«J'ai vu beaucoup de lumières dans le ciel, alors je me suis relevé, croyant que le missile était intercepté et que c'était fini. Ensuite, une roquette est tombée sur une voiture et j'ai vu beaucoup de sang. J'ai reçu des morceaux de shrapnels (fragments d'une bombe) dans les jambes. J'ai vu la jambe coupée de mon ami», raconte le jeune homme de 24 ans.
Les habitants de Beer Sheva restaient sur le qui-vive hier soir, malgré les rumeurs d'un cessez-le-feu. Le matin même, une roquette s'était abattue sur le toit d'une école.
«Nous espérons un cessez-le-feu, et même plus: la paix, a dit le directeur des relations externes de la municipalité de Beer Sheva, Ishay Avital. Mais nous sommes pragmatiques et nous savons qu'un cessez-le-feu sera très limité. Ce sera jusqu'à la prochaine fois.»
La branche armée du Hamas, les Brigades Al-Qassam, ont revendiqué le tir de plusieurs roquettes Grad en Israël, une première depuis la trêve d'avril dernier.
Les activités réunissant plus de 500 personnes - matches de soccer, journée d'orientation scolaire, concerts - ont été annulées jusqu'à nouvel ordre.
Tensions avec l'Égypte
Joint au téléphone vendredi soir à Gaza, le journaliste Hassan Jaber avait confié que les gens étaient «terrifiés». «Les gens ont peur que ce soit la guerre, dit-il. Ils essaient d'apporter du gaz et de la nourriture à leurs maisons, parce qu'ils craignent de nouvelles attaques.»
Mais la bande de Gaza n'est pas le seul point de friction avec les Israéliens. La tension a monté d'un cran avec le voisin égyptien après le refus du ministre de la Défense israélien de présenter ses excuses à l'Égypte pour la mort de cinq de ses policiers - il a plutôt exprimé ses «regrets». Les agents ont été tués jeudi dernier à la frontière israélo-égyptienne après une série d'attaques contre des Israéliens. Ce sont d'ailleurs ces événements qui ont causé la présente escalade, le gouvernement israélien affirmant que des groupes radicaux ont pénétré en Israël depuis la bande de Gaza via l'Égypte.
http://www.cyberpresse.ca/international/moyen-orient/201108/22/01-4427781-israel-et-le-hamas-concluent-une-treve.php
dimanche 8 mai 2011
Drame de l'immigration au large de Lampedusa
Un bateau transportant 300 migrants s'est échoué alors qu'il s'approchait du port italien de l'île de Lampedusa et de nombreux passagers, dont des femmes et des enfants, se sont jetés à la mer, a annoncé dimanche l'agence italienne Ansa, citant des sources officielles.
Des garde-côtes ont lancé une opération de secours et ont déjà repêché des dizaines de passagers qui s'étaient jetés à l'eau après que le bateau eut heurté des rochers. Le navire devait apparemment se rendre à Malte mais a été escorté par des garde-côtes maltais vers Lampedusa, a-t-on encore indiqué.
Des bateaux surchargés
Des milliers de réfugiés fuyant la Libye et la Tunisie sont arrivés ces dernières semaines à Lampedusa. Les migrants venant de Libye étaient pour la plupart des travailleurs venant d'Afrique sub-saharienne et d'Asie du Sud-Est. Une minorité est constituée de Tunisiens.
La veille, samedi, des centaines de réfugiés fuyant la Libye et voyageant à bord de deux bateaux avaient déjà débarqué sur l'île de Lampedusa. 655 personnes, dont 82 femmes et 21 enfants, étaient à bord d'un premier bateau et 187, dont 19 femmes et un enfant, à bord du second, un bateau de pêche rouillé et surchargé.
mardi 3 août 2010
Soldats israéliens et libanais s'affrontent à la frontière
Militaires des deux camps ont échangé des tirs d'armes automatiques et des roquettes auraient été aussi tirées. La force des Nations Unies au Liban appelle au calme.
La frontière israélo-libanaise au sud Liban a été le théâtre mardi matin d'un sérieux accrochage entre l'armée libanaise et Tsahal. Les formations des deux pays ont échangé des tirs de roquettes et d'armes automatiques. Les informations sont encore floues. Officiellement, l'armée israélienne déplore dans ses rangs des blessés, dont un grave. La chaîne de télévision du Hezbollah affirme qu'un «haut gradé» israélien a été tué mais la nouvelle n'a pas été confirmée. Les forces libanaises font état de trois morts et de cinq blessés. Un journaliste libanais a aussi perdu la vie et un civil a été blessé.
Les circonstances de l'affrontement restent confuses. Côté libanais, on explique que «les Israéliens ont commencé à tirer, l'armée libanaise a riposté». Un responsable des services de sécurité présent dans la zone a affirmé à l'Agence France-Presse que les «soldats israéliens ont tiré quatre obus qui sont tombés près d'une position de l'armée libanaise à Aadaissé». Une maison de cette ville, située à 30 km à l'est de la ville côtière de Tyr, a notamment été touchée. Plusieurs villageois ont d'ailleurs été pris de panique et ont fui vers la capitale Beyrouth. Côté israélien, on assure que «l'armée libanaise a procédé à des tirs de sommation alors que les Israéliens patrouillaient en territoire hébreu». «Les militaires israéliens ont répondu en tirant des obus», précise-t-on de source sécuritaire. Un porte-parole de la police israélienne a en revanche démenti des informations selon lesquelles des roquettes avaient été tirées du Liban sur le nord d'Israël.
A en croire l'armée libanaise, le point de départ de l'incident serait des travaux de soldats du génie israélien. «Ça commencé quand des soldats israéliens ont tenté d'arracher un arbre du côté libanais, dans le secteur d'Aadaissé», a affirmé un porte-parole. Les Israéliens auraient voulu déraciner l'arbre à l'aide d'une grue car il leur bloquait la vue.
La Finul exhorte à la «retenue»
Les soldats de la Force des Nations unies au Liban stationnée dans le Sud du Liban (Finul) sont dans la zone et tentent d'éclaircir le déroulement de l'accrochage. «Notre priorité immédiate pour le moment est de ramener le calme. Le commandant par intérim de la Finul est en contact avec les commandements des deux armées et les appelle à un maximum de retenue», a souligné la Finul. Les heurts ont cessé mais la tension reste vive. Le président libanais Michel Sleimane et le premier ministre Saad Hariri ont dénoncé une «agression» israélienne. L'Etat hébreu a lui averti son voisin de «conséquences» en cas de nouveaux heurts le long de la frontière. Israël tient «le gouvernement du Liban pour responsable de ce grave incident».
L'affrontement de mardi est le plus important dans la zone frontalière depuis la guerre qui a opposé Israël et le Hezbollah il y a quatre ans. Le conflit avait fait, à l'été 2006, 1200 morts côté libanais et 160 côté israélien. La Finul, chargée de surveiller le cessez-le-feu et la Ligne bleue tracée par l'ONU à la frontière, compte quelque 13.000 militaires dont 1500 Français. Des incidents l'ont opposée en juin à plusieurs groupes de villageois.
http://www.lefigaro.fr/international/2010/08/03/01003-20100803ARTFIG00398-soldats-israeliens-et-libanais-s-affrontent-a-la-frontiere.php
La frontière israélo-libanaise au sud Liban a été le théâtre mardi matin d'un sérieux accrochage entre l'armée libanaise et Tsahal. Les formations des deux pays ont échangé des tirs de roquettes et d'armes automatiques. Les informations sont encore floues. Officiellement, l'armée israélienne déplore dans ses rangs des blessés, dont un grave. La chaîne de télévision du Hezbollah affirme qu'un «haut gradé» israélien a été tué mais la nouvelle n'a pas été confirmée. Les forces libanaises font état de trois morts et de cinq blessés. Un journaliste libanais a aussi perdu la vie et un civil a été blessé.
Les circonstances de l'affrontement restent confuses. Côté libanais, on explique que «les Israéliens ont commencé à tirer, l'armée libanaise a riposté». Un responsable des services de sécurité présent dans la zone a affirmé à l'Agence France-Presse que les «soldats israéliens ont tiré quatre obus qui sont tombés près d'une position de l'armée libanaise à Aadaissé». Une maison de cette ville, située à 30 km à l'est de la ville côtière de Tyr, a notamment été touchée. Plusieurs villageois ont d'ailleurs été pris de panique et ont fui vers la capitale Beyrouth. Côté israélien, on assure que «l'armée libanaise a procédé à des tirs de sommation alors que les Israéliens patrouillaient en territoire hébreu». «Les militaires israéliens ont répondu en tirant des obus», précise-t-on de source sécuritaire. Un porte-parole de la police israélienne a en revanche démenti des informations selon lesquelles des roquettes avaient été tirées du Liban sur le nord d'Israël.
A en croire l'armée libanaise, le point de départ de l'incident serait des travaux de soldats du génie israélien. «Ça commencé quand des soldats israéliens ont tenté d'arracher un arbre du côté libanais, dans le secteur d'Aadaissé», a affirmé un porte-parole. Les Israéliens auraient voulu déraciner l'arbre à l'aide d'une grue car il leur bloquait la vue.
La Finul exhorte à la «retenue»
Les soldats de la Force des Nations unies au Liban stationnée dans le Sud du Liban (Finul) sont dans la zone et tentent d'éclaircir le déroulement de l'accrochage. «Notre priorité immédiate pour le moment est de ramener le calme. Le commandant par intérim de la Finul est en contact avec les commandements des deux armées et les appelle à un maximum de retenue», a souligné la Finul. Les heurts ont cessé mais la tension reste vive. Le président libanais Michel Sleimane et le premier ministre Saad Hariri ont dénoncé une «agression» israélienne. L'Etat hébreu a lui averti son voisin de «conséquences» en cas de nouveaux heurts le long de la frontière. Israël tient «le gouvernement du Liban pour responsable de ce grave incident».
L'affrontement de mardi est le plus important dans la zone frontalière depuis la guerre qui a opposé Israël et le Hezbollah il y a quatre ans. Le conflit avait fait, à l'été 2006, 1200 morts côté libanais et 160 côté israélien. La Finul, chargée de surveiller le cessez-le-feu et la Ligne bleue tracée par l'ONU à la frontière, compte quelque 13.000 militaires dont 1500 Français. Des incidents l'ont opposée en juin à plusieurs groupes de villageois.
http://www.lefigaro.fr/international/2010/08/03/01003-20100803ARTFIG00398-soldats-israeliens-et-libanais-s-affrontent-a-la-frontiere.php
samedi 22 mai 2010
Premier ambassadeur d'Irak au Caire depuis 20 ans
Le premier ambassadeur d'Irak en Egypte depuis vingt ans a officiellement remis samedi ses lettres de créance au chef de la diplomatie égyptienne
Le Caire et Bagdad avaient rompu leurs relations en 1990 suite à la décision prise par l'Egypte de rejoindre la coalition internationale dont l'intervention mit fin à l'occupation du Koweït par l'Irak lors de la guerre du Golfe en 1991.
Depuis, la représentation diplomatique des deux pays s'effectuait au niveau de chargés d'affaires.
D'après Hossam Zaki, porte-parole du ministère égyptien des Affaires étrangères, l'ambassadeur Nezar Eissa al-Kheirallah a présenté ses lettres de créance au chef de la diplomatie Ahmad Aboul Gheit puis l'a informé de la situation en Irak.
A l'occasion de cette rencontre, le ministre égyptien s'est déclaré "préoccupé par l'effet négatif de l'intervention étrangère dans les affaires irakiennes", a précisé le porte-parole.
AP Associated Presse
Le Caire et Bagdad avaient rompu leurs relations en 1990 suite à la décision prise par l'Egypte de rejoindre la coalition internationale dont l'intervention mit fin à l'occupation du Koweït par l'Irak lors de la guerre du Golfe en 1991.
Depuis, la représentation diplomatique des deux pays s'effectuait au niveau de chargés d'affaires.
D'après Hossam Zaki, porte-parole du ministère égyptien des Affaires étrangères, l'ambassadeur Nezar Eissa al-Kheirallah a présenté ses lettres de créance au chef de la diplomatie Ahmad Aboul Gheit puis l'a informé de la situation en Irak.
A l'occasion de cette rencontre, le ministre égyptien s'est déclaré "préoccupé par l'effet négatif de l'intervention étrangère dans les affaires irakiennes", a précisé le porte-parole.
AP Associated Presse
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