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lundi 19 octobre 2015

Fifa : la drôle de ligne de défense de Platini

Suspendu 90 jours par la commission d'éthique de la Fifa en raison d'un versement controversé de 2 millions de francs suisses, Michel Platini a accordé un entretien au Monde pour clamer sa bonne foi et livrer sa version des faits. Mais les réponses de l'ancien capitaine des Bleus laissent perplexe...
"L'histoire peut paraître étonnante". C'est Michel Platini qui le dit lui-même et sur ce point, personne n'osera le contredire. Toujours déterminé à prendre les rênes de la Fifa, malgré le versement controversé de 2 millions de francs suisses (1,8 million d'euros) reçus du président de la Fifa Joseph Blatter en 2011 qui fait polémique aujourd'hui, l'ancien meneur de jeu de l'équipe de France a livré sa vérité dans un entretien au Monde. Mais certaines questions restent sans réponses.
Tout d'abord, quel travail a effectué précisément Michel Platini pour recevoir 2 millions de francs suisses ? A cette interrogation, il cite 3 projets sans donner plus de détails : une réforme du calendrier mondial des compétitions, le "goal project" et un dispositif d'aides et de soutien de la Fifa aux fédérations les plus pauvres du monde. La justice suisse attendra sans nul doute davantage de précisions sur ses activités.
"Un million... de quoi ?"
Plus étonnant surtout, pourquoi y a-t-il eu 9 ans d'écart entre la période où ce travail est censé avoir été effectué et le moment où Michel Platini a reçu sa rémunération ? Sur ce point, l'ancien n°10 de Juventus Turin livre une explication détaillée. Alors que Sepp Blatter envisage de prendre la présidence de la Fifa, ce dernier lui réclame son aide et son expertise. Et lorsque la question de sa rétribution est abordée, Michel Platini répond : "Un million". "De quoi ?" lui demande alors Blatter. "De ce que tu veux, des roubles, des livres des dollars", poursuit l'ancien international.
Quel que soit la monnaie utilisée, la sommé exigée dépasse les salaires en vigueur chez les dirigeants de la Fifa. A titre d'exemple, le secrétaire général touche 300.000 euros. Du coup, pour verser un tel montant Sepp Blatter doit élaborer un petit montage financier (un contrat de 300.000 francs suisses et le reste plus tard donc).
"Un truc d'homme à homme"
Une solution que l'ancien capitaine des Bleus accepte sans sourciller. Mais aucun contrat, ni document ne viendra sceller cet accord. "C'était un truc d'homme à homme. Il allait devenir président de la Fifa. La Fifa ! J'avais confiance", explique-t-il. Et démontrer sa bonne foi mais aussi son amateurisme, Michel Platini indique n'avoir "ni avocat, ni agent" pour défendre ses intérêts.
"Je ne suis pas un homme d'argent"' mais...
Or, cette explication soulève une contradiction. Michel Platini assure ne pas être "un homme d'argent". Pour nous convaincre, il précise avoir refusé une offre très lucrative du Real Madrid en 1992 et surtout avoir présidé le comité d'organisation de la Coupe du Monde 98 de façon bénévole. Pourtant, il réclame pour ses missions auprès de Sepp Blatter un montant trois fois supérieur au salaire du secrétaire général de la Fifa.
Amateur ou crédule ? La ligne de défense choisie par Michel Platini pour démontrer son honnêteté donne, sur la forme, une image peu compatible avec les responsabilités auxquelles il aspire à la tête de la Fifa. Et, sur le fond, elle ne dissipe pas les doutes sur la justification réelle des 2 millions de francs suisses versés. 
 

mardi 6 octobre 2015

OM: Margarita Louis-Dreyfus est-elle sur le point de vendre le club?

L’Equipe y croit dur comme fer. Dans une double page de son édition du jour, le quotidien sportif étaye l’hypothèse d’une vente de l’OM dans un futur proche. Son prix est évalué à 100 millions d’euros. Des contacts auraient déjà été pris dans les pays du Golfe, ainsi qu’avec un groupe américain, l’Inde et Dubaï.
>> A lire aussi : Comment l’OM peut-il récupérer la gestion des abonnements ?

« De la fiction » pour Labrune

Vincent Labrune ne ferme pas la porte à cette hypothèse. « Pour l’heure, c’est de la fiction, répond le président de l’OM. Mais si un jour, le fruit du travail de réforme nous permet d’attirer un investisseur comme celui du PSG, ce sera très bien. » Pour Christophe Bouchet, ancien président du club, tous les indices seraient réunis : assainissement de la masse salariale, acquisition du centre d’entraînement, récupération des abonnements.
>> A lire aussi : Un projet de socios a été transmis à Vincent Labrune
Pour Me Thierry Granturco, avocat en droit du sport, ce dernier point n’est pas déterminant. « On n’essaie pas de récupérer préventivement la billetterie, expliquait-il à 20 Minutes. Ou alors ça veut dire que la vente va se faire dans les deux mois. Si c’est juste une planification, ce ne serait pas stratégique de la part du président. Il aurait tout intérêt à habiller la récupération de la billetterie par l’annonce de la vente prochaine du club. » Ce que fait peut-être Vincent Labrune à demi-mot en ce moment.
http://www.20minutes.fr/marseille/1702867-20151006-om-margarita-louis-dreyfus-point-vendre-club

samedi 28 avril 2012

Taxe à 75% : Ancelotti tacle Hollande

Carlo Ancelotti s’est fendu d’une petite pique à l’endroit de , samedi lors de sa conférence de presse. «J’ai lu ce qu’a dit M. Hollande, j’ai aussi lu ce qu’a dit le Sarkozy, a déclaré l’entraîneur du PSG en référence aux entretiens qu’ont accordés les deux candidats à L’Equipe.
Je ne suis pas un politique mais je paye mes taxes (NDLR: mes impôts) et je peux dire que le président (NDLR: Sarkozy) connaît bien le système

Il s’agit d’une pierre dans le jardin du candidat de la gauche qui, vendredi,toujours dans le quotidien sportif, s’en était pris directement au technicien italien. Alors
qu’il revenait sur sa proposition de taxer à 75% l’argent gagné au-delà d’un million d’euros annuels, François Hollande avait évoqué le salaire du Transalpin et lui avait assigné une obligation de résultats. «On peut aussi considérer que certains rémunérations n’ont pas à être aussi importantes, avait déploré le rival de Nicolas Sarkozy à la présidentielle J’ai appris que l’entraîneur du Paris Saint-Germain percevait 6 millions d’euros par an. A ce prix-là, je souhaite que le PSG soit champion de France.»

http://www.leparisien.fr/psg-foot-paris-saint-germain/taxe-a-75-ancelotti-tacle-hollande-28-04-2012-1976289.php

jeudi 17 mars 2011

Ribéry et Evra : oui au retour en grâce, non à l'état de grâce

Donc, ils reviennent. Oui, Ribéry et Evra. Ils sont de retour en équipe de France, rappelés par le Président Blanc au nom de l'intérêt supérieur du football français afin de préparer les matchs devant opposer les Bleus au Luxembourg et la Croatie. Bien. Lire la suite l'article


Je me souviens d'avoir écrit sur ce blog, lors des événements de la Coupe du monde 2010 (en gros, il y a un siècle dans notre monde d'hyper-médiatisation) que le comportement de Ribéry et d'Evra tout au long du désastre devait à jamais leur interdire le chemin de l'équipe de France. Au regard du temps qui passe, de la nécessité du pardon sans lequel il n'y pas de civilisation, des sanctions subies par les deux joueurs (3 et 5 matchs de suspension), je n'écris plus la même chose aujourd'hui. Oui, s'il le faut, qu'ils reviennent en équipe de France.


Je dois, ce jeudi soir, participer à un débat sur le sujet (Sur I télé à 19h15). On va nous demander : "Et la morale dans tout cela ?" Je répéterai ce que je dis ici. Il y a un temps pour la sanction, il y a un temps pour le pardon. Et franchement, lorsque l'on voit ce qui se passe au Japon et en Libye, on se dit qu'il est temps de remettre les choses du football, même de haut niveau, à leur juste place dans la hiérarchie des affaires publiques.


Soyons lucides cependant. On ne sait si Evra et Ribéry ont tiré toutes les leçons de leurs mésaventures sud-africaines. Le pardon n'est pas l'oubli. On ose espérer que Laurent Blanc a pris toutes les garanties possibles quant au retour des deux punis et qu'ils seront aptes à tirer profit des enseignements du passé. Personne n'a envie de se faire rouler dans cette affaire, gageons le. Ni Blanc, ni la FFF, ni les autres joueurs de l'équipe de France, ni les supporters et amoureux du football. Les propos de Laurent Blanc sont sans ambiguïté : «Jai été très clair : létat desprit sera un critère important dans mes choix à lavenir. Tout le monde, doit être irréprochable au niveau de létat desprit. Si ce nest pas le cas, il faudra que... lire la suite de l'article sur lefigaro.fr
http://blogteam.sport24.com/bruno_roger-petit/2011/03/ribery-et-evra-oui-au-retour-en-grace-non-a-letat-de-grace.html

mardi 10 août 2010

Football : tolérance zéro pour les supporteurs ultras

La police change de tactique contre les hooligans. Les 249 individus interpellés samedi lors du match PSG-Saint-Étienne sont interdits de stade.

Après les Roms, les truands grenoblois et les polygames, le ministre de l'Intérieur frappe un grand coup contre les ultras du football. Le préfet de police de Paris, Michel Gaudin, a, pour la première fois lundi, signifié une interdiction de stade, au titre de l'urgence, aux plus de 200 hooligans interpellés au Parc des Princes, ce week-end, lors de la rencontre PSG-Saint-Étienne, qui a marqué la première journée de Ligue 1.

Non seulement ces supporteurs plus ou moins fanatisés des tribunes d'Auteuil et de Boulogne n'auront plus accès aux stades durant trois semaines, mais ils devront en plus pointer au commissariat les jours de match. La préfecture assortit, en effet, quasiment automatiquement une mesure d'interdiction de stade d'une obligation de pointage. Dans un second temps, ils pourraient être exclus pour une période beaucoup plus longue.

«Après la mort tragique d'un supporteur du PSG agressé en février dernier», a expliqué lundi Brice Hortefeux au Figaro, «je me suis engagé à ce que chacun puisse désormais assister à un match avec ses enfants dans un climat festif et convivial. Or, grâce aux efforts combinés de la police, des gendarmes, des procureurs et des clubs, il n'y a pas eu un seul incident grave depuis six mois. Les violents et les racistes n'ont plus leur place dans les stades.» Sa collègue de la Justice, Michèle Alliot-Marie, vient de recommander, pour sa part, aux parquets de «communiquer largement» sur les poursuites engagées contre les auteurs de violence dans ces enceintes, en portant une attention particulière aux faits de xénophobie.

Ce qui s'est passé samedi dernier au Parc des Princes était déjà en soi une première. D'ordinaire, la police interpelle quelques dizaines de hooligans tout au plus, en cas d'échauffourées. Mais la consigne lors du dernier match était claire : embarquer tous les agitateurs dès la première insulte qui fuse. La tolérance zéro, en somme, appliquée à un événement sportif.

Ils étaient donc près de 300, ce soir-là, à crier leur haine et tenter d'empêcher les supporteurs pacifiques, venus en famille, d'accéder au stade et notamment à «leurs» tribunes des virages d'Auteuil et de Boulogne, dont ils ont été bannis.

Les forces de l'ordre, placées ce soir-là sous la responsabilité directe de Jean-Louis Fiamenghi, ancien patron du Raid devenu directeur de cabinet du préfet de police, ont appliqué à la lettre la nouvelle doctrine. Résultat : 249 interpellations en une heure, dont deux «Stéphanois», soit presque le quart des arrestations réalisées durant toute une saison de football. Du jamais-vu. Neuf des interpellés ont parallèlement fait l'objet de mesures de garde à vue, dont quatre soupçonnés d'avoir lancé des fumigènes en direction des policiers. Ceux-là ont, pour la plupart, été déférés à la justice.

Andrès, restaurateur espagnol et soutien inconditionnel du PSG, rapporte ce qu'il a vu ce soir-là : «Les ultras adressaient des insanités au public muni de billets. Ils bloquaient littéralement la rue pour nous empêcher de passer. Les CRS leur ont tendu une nasse. Et par paquets de dix, méthodiquement, avec des agents en civil, ils les ont cueillis pour les amener dans un bus tout blanc. À la sortie du match, tout était calme.» Lui le dit sans l'ombre d'une hésitation : «Aujourd'hui, on peut amener ses enfants au Parc. Nous n'avons plus peur comme avant.»


«Gratuit pour les filles»

De nombreux fans assurent également que la politique du club, consistant à baisser le prix des billets et à rendre les tribunes de Boulogne et d'Auteuil au public, rencontre un vif succès. Le dernier match a drainé 23 000 spectateurs. «Et c'était gratuit pour les filles», se réjouit un ado qui assistait à ce PSG-Saint-Étienne.

Une police plus réactive, un club qui joue le jeu : la recette sera à nouveau testée le 19 août lors d'un PSG-Tel-Aviv au Parc. Pas moins d'un millier de policiers seront mobilisés.
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2010/08/09/01016-20100809ARTFIG00466-football-tolerance-zero-pour-les-supporteurs-ultras.php

mardi 3 août 2010

Evra et Gallas auditionnés

Les défenseurs Patrice Evra et William Gallas ont été auditionnés lundi à Paris par la commission d'information chargée de faire la lumière sur la grève de l'entraînement des joueurs de l'équipe de France durant le Mondial 2010
La commission d'information continue d'auditionner les internationaux français acteurs du fiasco de Knysna. Ce lundi, deux d'entre eux se sont rendus au siège de la FFF, et non des moindres. Il s'agit en effet du capitaine tricolore au moment des faits, Patrice Evra, et du taulier des lignes arrières William Gallas. Evra est arrivé le premier, Gallas s'est présenté dans l'après-midi en compagnie de son avocat. D'autres joueurs, parmi les 23 sélectionnés pour la Coupe du monde sud-africaine, avaient déjà été entendus par téléphone, selon la FFF.



Le Conseil fédéral de la FFF étudiera le vendredi 6 août le "rapport de synthèse" établi par les trois membres de la commission d'information, ex-commission d'enquête, composée de Laurent Davenas, avocat général à la cour de Cassation, Jacques Riolacci, ancien président de la Commission de discipline de la LFP et Patrick Braouezec, président de la Fondation du football et député de Seine-Saint-Denis. Un trio "chargé d’établir les faits et les responsabilités" concernant la grève de l'entraînement du 20 juin.

Ce jour-là, les Bleus avaient décidé de ne pas s'entraîner pour protester contre l'exclusion de l'équipe de France de Nicolas Anelka, à la suite de ses insultes proférées à l'encontre du sélectionneur Raymond Domenech à la mi-temps de France-Mexique (0-2). Le nouveau sélectionneur des Bleus, Laurent Blanc, a d'ores et déjà décidé de prendre ses distances avec ces évènements en ne convoquant aucun des 23 Bleus présents en Afrique du Sud pour le match amical face à la Norvège le 11 août prochain.
http://coupe-du-monde.tf1.fr/actu-coupe-du-monde/evra-et-gallas-auditionnes-5955018.html

mercredi 21 juillet 2010

Affaire Zahia : Karim Benzema et Franck Ribéry mis en examen

Mardi, les footballeur français Karim Benzema et Franck Ribéry ont été mis en examen, tout comme le beau-frère de la vedette du Bayern Munich, pour «sollicitation de prostituée mineure» à Paris. Remis en liberté sans contrôle judiciaire, tous trois sont soupçonnés d'avoir sollicité Zahia, une prostituée, à avoir des rapports sexuels alors que la jeune femme était mineure.
Un délit passible de trois ans de prison et de 45 000 euros d'amende. Mais il revient à l'accusation de prouver que les clients savaient que la prostituée était mineure.

L'«affaire Zahia» avait bousculé la planète foot au printemps dernier, à quelques semaines du Mondial en Afrique du Sud. Mardi peu avant 9 heures, les deux internationaux français étaient arrivés au siège de la brigade de répression du proxénétisme (BRP) et avaient été placés en garde à vue, tout comme un des agents de Ribéry et son-beau frère, âgé de 21 ans.

Les deux footballeurs ont été placés en garde à vue sur commission rogatoire du juge Yves Dando, qui enquête sur des faits présumés de proxénétisme au Zaman Café, un bar proche des Champs-Elysées. A l'issue d'environ sept heures de garde à vue, Franck Ribéry est arrivé menottes aux poignets dans la galerie des juges d'instruction du palais de justice, selon plusieurs sources, avant d'être mis en examen.

Quatre personnes, dont le gérant du bar, un serveur et un homme soupçonné d'avoir fourni des prostituées à une clientèle du show-business, avaient déjà été mises en examen dans cette affaire.

L'avocate de Ribéry : «Il n'y a pas un seul indice matériel»


L'âge de Zahia Dehar, l'une des prostituées qui gravitaient autour du Zaman Café, est au cœur du dossier. La jeune femme a en effet affirmé aux policiers avoir eu des relations tarifées avec des joueurs, notamment Franck Ribéry, en 2009, et Karim Benzema, en 2008, alors qu'elle était encore mineure, ainsi qu'avec un autre Bleu, Sidney Govou, en mars 2010, quand elle était majeure.

Au cours de cette enquête pour proxénétisme aggravé, la star du Bayern avait été entendue comme témoin. Devant les enquêteurs, il avait reconnu avoir eu une relation avec la jeune femme et lui avoir payé un voyage et un séjour en Bavière. Mais, selon leur avocate Me Sophie Bottai, Franck Ribéry et son beau-frère ignoraient que Zahia Dehar était mineure. Elle l'a redit ce mardi après les mises en examen : «Il n'y a pas un seul indice matériel : cette fille qui leur a dit qu'elle était majeure, l'aspect de cette jeune fille maquillée, habillée, qui a le comportement d'une femme avertie». «La chose nouvelle depuis (sa précédente audition par les policiers au printemps, ndlr), c'est que Ribéry a fini la Coupe du monde de football et qu'il a mal joué», a ironisé l'avocate.

Karim Benzema, attaquant du Real Madrid, avait pour sa part affirmé le 3 mai ne pas se sentir «concerné» par cette affaire. Selon Zahia Dehar, qui s'était confiée dans la presse, les footballeurs ignoraient qu'elle était mineure au moment des faits.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/affaire-zahia-karim-benzema-et-franck-ribery-mis-en-examen-20-07-2010-1007057.php

lundi 7 juin 2010

Rama Yade trouve l'hôtel des Bleus trop «clinquant»

Rama Yade marque les Bleus à la culotte. La secrétaire d'Etat aux Sports a critiqué, ce dimanche, le choix d'un hôtel de luxe pour héberger les Bleus pendant la première phase de la Coupe du monde. «Je n'aurais pas choisi cet hôtel. L'Espagne, par exemple, a choisi un campus universitaire, a déclaré la secrétaire d'Etat sur Radio J.
Elle aurait bien aimé être du voyage», a supposé Alou Diarra, interrogé en conférence de presse. Le milieu de terrain de l'équipe de France, envoyé au charbon après la défaite contre la Chine en amical, a cependant précisé dans un sourire qu'il n'avait «pas à commenter les déclarations de Rama Yade».
FOOTBALL - Alou Diarra suppose qu'«elle aurait bien aimé être du voyage»...
Rama Yade marque les Bleus à la culotte. La secrétaire d'Etat aux Sports a critiqué, ce dimanche, le choix d'un hôtel de luxe pour héberger les Bleus pendant la première phase de la Coupe du monde. «Je n'aurais pas choisi cet hôtel. L'Espagne, par exemple, a choisi un campus universitaire, a déclaré la secrétaire d'Etat sur Radio J.

De la «décence en temps de crise»

«Si la France va très loin, le choix d'un site proposant les meilleures conditions d'entraînement paraîtra judicieux. Par contre, si les résultats ne sont pas à la hauteur de nos attentes, les instances devront s'expliquer. Il faudra logiquement en tirer les conséquences.» L'équipe de France est logée au Pezula Resort à Knysna, au bord de l'océan Indien.


«J'attends que l'équipe de France nous éblouisse par ses résultats plutôt que par le clinquant des hôtels. Moi je les ai appelés à la décence en temps de crise», a-t-elle ajouté. Ce n’est pas laz première fois que Rama Yade critique l’équipe de France. «C'est regrettable de voir ce jeu qui n'est pas bon, d'observer qu'on a de belles individualités mais que le sélectionneur n'arrive pas jusqu'à présent à en faire une équipe», avait-elle déclaré sur Radio Orient, à Paris, au surlendemain de la défaite des Bleus contre l'Espagne (2-0) au Stade de France.

A quoi ressemble l(hôtel des bleus...cliquez ici....ci dessous
http://www.20minutes.fr/diaporama/1076

http://www.20minutes.fr/article/575769/Sport-Rama-Yade-trouve-l-hotel-des-Bleus-trop-clinquant.php

mardi 13 avril 2010

Bernard Tapie interressé par le Paris FC?

L'ancien président de l'OM aimerait bien un deuxième grand club dans la capitale...

Bernard Tapie, l’homme d’affaire à la tête de l’OM dans les années 90 aimerait bien revenir dans le foot. Et plus précisément à Paris, ou l’idée de créer un deuxième grand club après le PSG le «brancherait», comme il l’avait déjà déclaré en 2005. Il aurait même jeté son dévolu sur le Paris FC, actuellement 7eme de National.

Dans France Football de mardi, l’ancien patron d’Adidas réfute l’hypothèse à demi-mots : «On m’envoie un peu partout. Au Paris FC, au Paris-SG… Par rapport à mon histoire, c’est un peu difficile pour moi de venir au PSG. J’adorerais, le projet me passionnerait, c’est un club avec un potentiel énorme dans lequel on pourrait réaliser de grandes choses, mais je ne suis pas sûr que les spectateurs seraient très contents de me voir débarquer.»

«C’est sûr et certain que je reviendrai dans le football»

Du côté du Paris FC, l'éventualité est pourtant balayée par Fabrice Herrault, le directeur général du club. «On va plutôt renforcer les têtes en place. Les actionnaires vont faire leur travail.» Même si l'équipe parisienne restera en National la saison prochaine, «ils croient au projet et comptent renforcer leur investissement dans le club.» Officiellement, il n'est donc pas question donc de voir débarquer de nouvelles têtes dans l'immédiat.

Même si ce n’est pas à Paris, Tapie ne cache pas qu’un retour vers le foot le démange de plus en plus. «C’est sûr et certain que je reviendrai dans le monde du football, déclare-t-il, mais pas maintenant et pas en France. Il y a plein de dossiers très intéressants à l’étranger […] Ce qui m’intéresse, c’est le projet. Quand j’ai repris l’OM, personne n’en parlait. C’est ça qui est bandant. Prendre un club en bas pour le monter tout en haut.»
20minutes

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