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lundi 22 juin 2015

Mettre les élus à la retraite à 70 ans pourrait favoriser l’engagement des jeunes

Favoriser l’engagement des jeunes dans la vie publique. C’est le but d’un rapport piloté par l’agence France Stratégie et remis ce lundi matin au ministre chargé de la Jeunesse Patrick Kanner. Intitulé « Reconnaître, valoriser, encourager l’engagement des jeunes », ce rapport écrit par l’universitaire Béligh Nabli et la sociologue Marie-Cécile Naves lance 25 pistes pour atteindre cet objectif.
Un but aussi complexe qu’urgent : neuf Français sur dix ont une mauvaise image globale des partis politiques et plus d’un sur trois en a même une « très mauvaise opinion », selon un sondage réalisé par Odoxa le 13 juin 2015. Et la défiance s’accentue chez les jeunes : En 2012, seuls 15 % des 18-29 ans affirmaient avoir confiance dans l’institution gouvernementale, contre 26 % des adultes de plus de 30 ans, selon une étude du Credoc citée par ce rapport.

Limitation au seul président de la République

Deux mesures s’annoncent déjà polémiques : la mesure 21 préconise l’interdiction, pour les élus, d’assumer plus de trois mandats consécutifs, et d’être à la retraite d’office à 70 ans. Une mesure radicale qui n’a rien d’une fantaisie, affirment les auteurs : « Au Congo-Brazzaville, la Constitution du 20 janvier 2002 (toujours en vigueur) impose une limite d’âge à 70 ans. » En France, la limite des mandats dans le temps ne concerne, actuellement, que le président de la République (deux mandats).
http://www.20minutes.fr/politique/1636767-20150622-mettre-elus-retraite-70-ans-pourrait-favoriser-engagement-jeunes

dimanche 21 juin 2015

Un quatrième directeur de cabinet en trois ans pour Christiane Taubira

Plus d'un directeur de cabinet par an... Alain Christnacht, un ancien de Matignon au temps de Lionel Jospin, prendra lundi la tête du cabinet de Christiane Taubira, devenant le quatrième directeur de cabinet de la garde des Sceaux, après sa mise en retraite du Conseil d'Etat rendue officielle dimanche. 1589219
Directeur de cabinet, kesako?
Conseiller d'Etat - en situation de surnombre-, Alain Christnacht, 68 ans, devait faire mettre fin à ses fonctions avant de pouvoir rejoindre la Chancellerie, ce qui a été fait par décret du président de la République paru dimanche au journal officiel. Il remplace Gilles Le Chatelier qui avait quitté la direction du cabinet de la ministre de la Justice à la mi-avril et n'avait donc pas été remplacé depuis plus de deux mois.

Ex-préfet

Alain Christnacht est le quatrième directeur de cabinet de Christiane Taubira en trois ans, après Christian Vigouroux, arrivé place Vendôme en mai 2012, en même temps que la garde des Sceaux, après l'élection de François Hollande à l'Elysée, Christine Maugüé (mars 2013) et Gilles Le Chatelier (avril 2014). Alain Christnacht a été secrétaire général puis Haut Commissaire en Nouvelle-Calédonie et figure au rang des plus fins connaisseurs du dossier calédonien. Membre du cabinet de Lionel Jospin de 1997 à 2002, chargé des affaires intérieures et de l'outre-mer, il a été l'artisan de l'accord de Nouméa de 1998.
Ancien préfet des Côtes-d'Armor, ce qui lui a permis de côtoyer l'ancien maire socialiste de Guingamp Noël Le Graët, il était devenu son bras droit à la Fédération française de football, qu'il avait rejointe en juillet 2011 au poste de directeur général. Il avait quitté la FFF en juin 2012 pour rejoindre le Conseil d'Etat.
Diplômé de Sciences Po, de la faculté de droit et de sciences économiques de Paris-Assas et ancien élève de l'ENA, Alain Christnacht est l'un des fondateurs de Terra Nova, centre de réflexion proche du PS.

http://www.20minutes.fr/politique/1636247-20150621-quatrieme-directeur-cabinet-trois-ans-christiane-taubira

jeudi 18 juin 2015

Première apparition de Julie Gayet lors d'un déplacement officiel de Hollande

L'actrice Julie Gayet et compagne de François Hollande a effectué jeudi matin sa première apparition à un déplacement officiel du président, lors de la commémoration de l'Appel du 18 juin qui a lieu tous les ans sur le Mont-Valérien. 
Vêtue de noir, l'actrice assiste à cette cérémonie «en tant que petite-fille d'Alain Gayet, Compagnon de la Libération», a précisé l'entourage du chef de l'Etat.
François Hollande est arrivé sur les lieux peu après 11h pour commémorer le 75e anniversaire de l'appel du Général de Gaulle.

Julie Gayet en retrait 

 
A son arrivée, François Hollande a été ovationné par les jeunes présents, avant d'écouter, seul devant la Croix de Lorraine, une lecture de l'Appel du Général de Gaulle puis le Chant des Partisans.
Julie Gayet est restée en retrait, se tenant derrière les anciens Résistants auxquels le chef de l'Etat a serré la main.

En Une de «Paris-Match»

Julie Gayet a aussi droit à la Une de Paris-Match, publié jeudi, qui la décrit «dans la lumière» et explique «comment elle entre peu à peu dans son nouveau rôle» de première dame.
http://www.20minutes.fr/people/1634379-20150618-premiere-apparition-julie-gayet-lors-deplacement-officiel-hollande

jeudi 19 février 2015

Bygmalion: L'ancienne comptable de l'UMP lui réclame 200.000 euros

Licenciée en pleine affaire Bygmalion, l'ancienne comptable de l'UMP réclame 200.000 euros au parti, révèle RTL ce jeudi. «Fabienne Liadzé estime qu'on lui a fait porter le chapeau et que son travail n'était pas de vérifier si les factures des meetings de 2012 étaient truquées ou non». L'audience aux prud'hommes aura lieu ce jeudi.
La société de communication Bygmalion est au cœur d'une affaire de fausses factures présumées pendant la campagne de Nicolas Sarkozy. Les enquêteurs ont la conviction qu'une fraude colossale a permis d'imputer 18,5 millions d'euros de dépenses de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy à l'UMP, pour que le budget de campagne déclaré reste sous le maximum autorisé de 22,5 millions d'euros.
Sept protagonistes ont été mis en examen, quatre ex-dirigeants de Bygmalion et trois ex-cadres de l'UMP.
http://www.20minutes.fr/societe/1544895-20150219-bygmalion-ancienne-comptable-ump-reclame-200000-euros

mercredi 9 avril 2014

Fillon, l'hélicoptère et les règlements de compte à l'UMP

"Jamais, jamais, jamais, c'est totalement faux, c'est juste de la calomnie". François Fillon a réagi avec vigueur aux rumeurs affirmant que l'ancien Premier ministre aurait facturé à l'UMP des voyages en hélicoptère vers sa résidence dans la Sarthe. "C'est assez lamentable", s'est insurgé le député, avant de laisser entendre que des rivaux au sein de l'UMP pourraient être à l'origine de cette affaire.
Fillon accusé de voler au frais de l'UMP. Le Premier ministre réagissait aux informations de l'hebdomadaire L'Express, selon lequel "les proches de Jean-François Copé se sont replongés dans les factures du précédent quinquennat et ont notamment retrouvé trace de déplacements en hélicoptère payés 12.000 euros l'aller entre Paris et la Sarthe où se situe la résidence de l'ancien Premier ministre".
"C'est juste de la calomnie". "Jamais, jamais, jamais, c'est totalement faux, c'est juste de la calomnie", a répliqué le député de Paris. "Quand j'étais Premier ministre et que je faisais des campagnes électorales pour aller soutenir des candidats dans toute la France, naturellement je le faisais par des moyens financés par mon parti et pas par l'Etat, c'est la moindre des choses", plaide-t-il, avant d'assurer que des voyages en hélicoptère n'ont "jamais, jamais" servi à assurer des déplacements vers sa résidence.
Un nouvel épisode des guerres intestines à l'UMP ? Et François Fillon de pointer du doigt les personnes à l'origine de cette fuite, qu'il va chercher au sein de son propre camp. "Ca veut dire que quand je demande de la transparence, on me répond par l'air de la calomnie et c'est assez lamentable", s'est-il indigné. Avant de rappeler qu'il a demandé à plusieurs reprises un "comité de supervision des comptes du parti" au président de l'UMP Jean-François Copé.
Une manière indirecte de rappeler que son rival est empêtré dans l'affaire Bygmalion, une société de communication fondé par des proches de Jean-François Copé et soupçonné d'avoir surfacturé ses prestations à l'UMP. Le parquet de Paris a ouvert le 5 mars une enquête préliminaire.
 

mardi 8 avril 2014

UMP: Des trajets personnels en hélicoptère à 12.000 euros pour François Fillon?

Selon «L'Express», des proches de Jean-François Copé possèdent des factures prouvant l'existence de ces trajets...  
Il n’y a que 255km entre Paris et la Sarthe, mais selon L’Express, François Fillon ne regardait pas à la dépense lorsqu’il fallait effectuer ce trajet entre 2007 et 2012. L’ancien premier ministre aurait facturé 12.000 euros à l'UMP certains de ses déplacements personnels en hélicoptère. Ce sont des proches de Jean-François Copé, le Président de l'UMP, qui auraient dénoncé ces dépenses, selon le site de l’hebdomadaire. Ils auraient épluché les factures du précédent quinquennat après la demande de François Fillon de créer un «comité de supervision» des comptes de l’UMP.
A l’époque, France Soir avait déjà dénoncé ces trajets coûteux. François Fillon n'hésitait pas à voyager avec un avion de la République, le Falcon 7X, à chaque fois qu’il souhaitait se rendre sur ses terres de la Sarthe. Une pratique autorisée, mais malvenue. C'est à ce moment là qu'il était passé aux voyages en hélicoptère, facturés directement à l’UMP.

http://www.20minutes.fr/politique/1346357-ump-des-trajets-personnels-en-helicoptere-a-12-000-euros-pour-francois-fillon

jeudi 3 octobre 2013

Cécilia Attias livre sa «vérité» sur sa rupture avec Nicolas Sarkozy

L'ex-femme de Nicolas Sarkozy revient également sur la polémique du Fouquet's et les vacances du couple sur le yacht de Vincent Bolloré...
Cécilia Attias confie à l'hebdomadaire Elle sa «vérité» sur les moments de sa séparation d'avec Nicolas Sarkozy. Dans cette interview à paraître vendredi, et réalisée à l'occasion de la publication le 9 octobre de son livre, Une envie de vérité (Editions Flammarion), l'ex Première dame assure qu'«évidemment» elle s'est «sentie coupable», mais ajoute-t-elle, «la culpabilité, ça n'apporte rien, c'est stérile, c'est pire que le regret».
Celle qui ne s'était jamais exprimé sur cette période de sa vie explique avoir décidé d'écrire pour «défendre (ses) idées» mais aussi pour «dire les choses telles» qu'elle les avait «vécues». L'hebdomadaire Le Point, paru ce jeudi, publie lui en exclusivité les bonnes feuilles de l'ouvrage autobiographie de Cécilia. 

Richard Attias

La première rencontre entre Cécilia et celui qui deviendra «l’homme de sa vie» remonte à octobre 2004. Elle se déroule à Bercy, où la femme de Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’Economie, a été nommée conseiller technique.
Richard Attias est chargé de «l’organisation du congrès pour l’élection du président de l’UMP qui devait se tenir à la fin du mois de novembre au Bourget», rappelle Le Point, qui cite ce passage du livre confessions de Cécilia Attias: «Embarquée dans l’agitation creuse des médias, j’avais soudain devant moi un homme solide, précis, posé, rassurant pour la personne inquiète que j’étais devenue».

Son abstention

Interrogée par Elle sur le fait qu'elle n'est pas allée voter au second tour de la présidentielle, Cécilia Attias répond: «J'ai voté à un des deux tours. Mais vous ne vous rendez pas compte de ce que c'était que de voter. Quand vous êtes la femme d'un futur chef d'Etat, les photographes vous guettent comme un animal et, moi, comme c'est arrivé à tant de gens, j'étais en train de me demander si je voulais encore de ce couple. J'allais trop mal pour supporter ces regards. J'aurais dû, mais je n'ai pas pu».

Le soir de la victoire

Sur sa présence place de la Concorde au soir de la victoire, après des hésitations, elle explique à Elle: «La Concorde, c'était différent. Pour le vote, je doutais. Là, je savais, j'avais choisi de reconstruire notre famille. Il fallait donc me jeter à l'eau, et j'étais au bord du bassin... Je n'y arrivais pas, je restais devant ma télé. Jeanne-Marie m'a appelée, elle m'a dit: "Maman, tu resteras en dehors après si tu veux mais, là, tes enfants sont là, ton mari est là, et tu as fait tant de sacrifices que cette victoire, c'est un peu la tienne. Viens". Elle avait raison».

Le Fouquet's

«Evidemment, j'ai été blessée par les attaques dont j'ai fait l'objet. J'ai toujours encaissé sans rien dire mais, contrairement à ce que l'on croit, le cuir ne s'épaissit pas», dit-elle au magazine féminin. Elle affirme que, contrairement aux propos de proches de Nicolas Sarkozy, l'idée de fêter la victoire du nouveau chef de l'Etat au Fouquet's n'était pas la sienne: «En réalité, Nicolas et moi avons choisi ce lieu ensemble parce que les Champs-Elysées sont le coeur de Paris et Paris est le coeur de la France».
De même, Cécilia Attias assure que ce n'est pas elle qui a dressé la liste des invités de cette soirée, qui fut décriée tout au long du mandat de Nicolas Sarkozy. «Je n'ai jamais établi de liste d'invités, ni bloqué l'entrée à quiconque! Le cabinet de Nicolas s'en est chargé», assure-t-elle.

Le yacht de Bolloré

Au sujet du yacht de Bolloré sur lequel le couple présidentiel était parti quelques jours, elle affirme à Elle que c'était «l'idée de Nicolas qui voulait faire plaisir à (leur) fils Louis (...) et nous trouver un endroit loin des photographes».

Les infirmières bulgares

En juillet 2007, Cécilia se rend à Tripoli pour négocier avec Kadhafi la libération des infirmières bulgares. Après une longue attente, elle le rencontre dans un bunker, niché sous le palais présidentiel. Et débute la discussion par l’attaque: «Est-ce que vous avez conscience de la manière dont vous vous permettez de me traiter? Et je vous prie de ne pas vous approcher de moi!», raconte-t-elle dans un extrait de son livre, publié par Le Point.
Après un moment d’échanges, Kadhafi lui lance: «Mais je veux bien vous les donner, les infirmières! Voilà, je vous les donne! Vous êtes contente?». Cécilia comprend toutefois que cette décision «n’est pas bloquée par Kadhafi lui-même, mais par son gouvernement et son fils Saïf». C’est ce qui la pousse, dès l’entretien terminé, à inciter ses officiers de sécurité d’aller immédiatement chercher les infirmières et le médecin palestinien dans la prison où ils sont retenus. Avec le succès que l’on sait.

La séparation

Cécila Attias décrit sa séparation d'avec Nicolas Sarkozy comme «une démarche totalement personnelle». «Ce qui nous est arrivé est une chose banale (...) Il se trouve que mon mari était président de la République. Mais ce n'était pas du courage, c'était ce qu'il fallait faire pour être en accord avec moi-même».
Elle raconte dans son livre que certaines de ses amies ont divorcé pour prendre sa place: «Les gens feraient n'importe quoi pour de l'argent ou du pouvoir». Interrogée sur une candidature à la présidentielle de 2017 de Nicolas Sarkozy, avec qui elle entretient de bonnes relations, elle dit n'en savoir «strictement rien» mais ajoute: «En politique, aucune porte n'est jamais complètement fermée».

http://www.20minutes.fr/article/1231225/20131002-cecilia-attias-dit-verite-moments-separation-nicolas-sarkozy

jeudi 20 octobre 2011

Encadrement militaire des mineurs délinquants : le Sénat dit non

C'est le premier "gros coup" des sénateurs de gauche, majoritaires dans la Haute-Assemblée depuis fin septembre. Et laisse surtout présager un rejet en séance plénière, le 25 octobre. La commission des Lois de la Haute assemblée a rejeté mercredi la proposition de loi sur l'encadrement de type militaire des mineurs délinquants et déjà adoptée par l'Assemblée nationale. La nouvelle majorité a voté, par 25 voix contre 21, une "question préalable" - ce qui équivaut à un rejet du texte -, qui était présentée par la présidente du groupe communiste Nicole Borvo Cohen-Seat. Cette loi avait été proposée par le député UMP Eric Ciotti
C'est une nouvelle loi d'affichage dont la visée électoraliste n'échappe à personne et qui se situe dans la droite ligne des lois sécuritaires de Nicolas Sarkozy" a affirmé la communiste, qui a ajouté : "Comme il s'agit d'une proposition de loi (ndlr: d'initiative parlementaire) elle échappait de plus au contrôle du Conseil d'Etat".


"Aucune concertation avec les professionnels"
"Nous avons une opposition de principe à une nouvelle modification de l'organisation de la justice pénale des mineurs et de l'ordonnance de 1945 sans aucune concertation avec les magistrats et les professionnels", a déclaré le président PS de la commission, Jean-Pierre Sueur, qui a soutenu et voté la question préalable. Il a également évoqué "le risque de déstabilisation des Epide (Etablissements publics d'insertion de la Défense) avec le mélange d'une population de mineurs avec une population de majeurs" qui bénéficient du dispositif "Défense deuxième chance" des Epide.

Le texte prévoit en effet que des mineurs de plus de 16 ans puissent se voir proposer un service "citoyen", d'une durée de 6 à 12 mois, au sein d'un Epide. Dans un mouvement d'humeur inédit depuis dix ans, la commission de la Défense de l'Assemblée nationale avait d'ailleurs rejeté le texte avant son vote en séance, traduisant une certaine inquiétude des milieux proches des militaires.

mardi 6 septembre 2011

Un nouveau parti politique à droite

Jean-Christophe Fromantin, maire DVD de Neuilly-sur-Seine et conseiller général des Hauts-de-Seine, a annoncé le lancement de son mouvement politique "indépendant et de centre droit", baptisé "Territoires en mouvement". "Territoires en mouvement est un parti politique indépendant, sans ralliement ni partenariat, de centre droit, qui vise à s'appuyer sur un tropisme territorial pour recréer une dynamique. Pendant le débat de la présidentielle, nous voulons que cette notion soit mieux prise en compte dans le projet politique", a déclaré Jean-Christophe Fromantin.

"Convaincu que le renouveau politique passe d'abord par un engagement de proximité et que c'est à partir d’ambitions territoriales affirmées qu'émergera un grand projet de croissance", le chef d'entreprise de 49 ans a donc choisi de transformer son association de soutien local (
mouvement MV2). Dans son projet, Jean-Christophe Fromantin entend miser sur "la richesse et la diversité des territoires" pour retrouver des facteurs de compétitivité et souhaite une "modernisation des politiques publiques" ainsi qu'un engagement politique basé sur la confiance.

Jean-Christophe Fromantin avait été l'un des principaux acteurs du "psychodrame de Neuilly" en se présentant aux municipales de 2008 contre le candidat de l'UMP David Martinon, soutenu par Nicolas Sarkozy, qui était maire de cette ville de 1983 jusqu'à son élection à la présidence de la République en mai 2007. Finalement, l'UMP avait soutenu la candidature de Jean-Christophe Fromantin sans que celui-ci prenne l'étiquette du parti.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/09/05/97001-20110905FILWWW00398-un-nouveau-parti-politique-a-droite.php