La panique s'est emparée vendredi soir d'Istanbul après que l'armée a fermé les ponts qui enjambent le Bosphore et relient les rives asiatique et européenne. Les soldats ont tiré sur la foule, qui tentait de franchir le pont Fatih Sultan Mehmet à pied, et ont essayé de prendre le pouvoir pour, disent-ils, "le maintien de l'ordre et des droits de l'homme" et "pour rétablir la démocratie".
Samedi matin, ce sont 754 militaires qui ont été arrêtés en lien avec le putsch qui semblait maté. Il a coûté la vie à au moins 60 personnes, indique une agence de presse progouvernementale Anadolu. En outre, cinq généraux et 29 colonels ont été démis de leurs fonctions sur ordre du ministre de l'Intérieur Efkan Ala, a précisé l'agence.
Samedi matin, ce sont 754 militaires qui ont été arrêtés en lien avec le putsch qui semblait maté. Il a coûté la vie à au moins 60 personnes, indique une agence de presse progouvernementale Anadolu. En outre, cinq généraux et 29 colonels ont été démis de leurs fonctions sur ordre du ministre de l'Intérieur Efkan Ala, a précisé l'agence.
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