Les manifestations continuent en Syrie. Et la répression avec elles, toujours plus violente. La haut commissaire des Nations unies aux droits de l'Homme, Navi Pillay, a d'ailleurs demandé ce lundi "l'arrêt immédiat des tueries en Syrie", jugeant "inacceptable" la "réaction erratique et violente" du gouvernement syrien face à "des manifestants pacifiques".
"Les forces de sécurité doivent immédiatement arrêter les tirs à balles réelles contre les manifestants" a-t-elle souligné.
"Le gouvernement a l'obligation internationale légale de protéger les manifestants pacifiques et le droit de manifester pacifiquement", a-t-elle ajouté. "La communauté internationale a réitéré ses demandes urgentes auprès du gouvernement syrien d'arrêter "de tirer sur "son propre peuple", "mais ces demandes sont restées lettre morte".
"Les forces de sécurité doivent immédiatement arrêter les tirs à balles réelles contre les manifestants" a-t-elle souligné.
"Le gouvernement a l'obligation internationale légale de protéger les manifestants pacifiques et le droit de manifester pacifiquement", a-t-elle ajouté. "La communauté internationale a réitéré ses demandes urgentes auprès du gouvernement syrien d'arrêter "de tirer sur "son propre peuple", "mais ces demandes sont restées lettre morte".
Malgré les annonces, l'Etat syrien continue à employer la force pour faire cesser les manifestations à Deraa, d'où est parti le mouvement de contestation.
Les manifestations continuent en Syrie. Et la répression avec elles, toujours plus violente. La haut commissaire des Nations unies aux droits de l'Homme, Navi Pillay, a d'ailleurs demandé ce lundi "l'arrêt immédiat des tueries en Syrie", jugeant "inacceptable" la "réaction erratique et violente" du gouvernement syrien face à "des manifestants pacifiques".
"Les forces de sécurité doivent immédiatement arrêter les tirs à balles réelles contre les manifestants" a-t-elle souligné.
"Le gouvernement a l'obligation internationale légale de protéger les manifestants pacifiques et le droit de manifester pacifiquement", a-t-elle ajouté. "La communauté internationale a réitéré ses demandes urgentes auprès du gouvernement syrien d'arrêter "de tirer sur "son propre peuple", "mais ces demandes sont restées lettre morte".
"Les hommes tirent dans toutes les directions et avancent derrière les blindés qui les protègent", a-t-il ajouté. "L'électricité est coupée et les communications téléphoniques sont presque impossibles", a-t-il précisé.
Dimanche, treize personnes ont été tuées et plusieurs autres blessées par les forces de l'ordre à Jableh, près de Lattaquié (nord-ouest), a indiqué lundi un militant des droits de l'Homme à l'AFP.
Ce nouveau bilan porte à au moins 361 le nombre de personnes ayant péri depuis le début du mouvement de contestation, selon des chiffres compilés par l'AFP.
Une vague d'arrestations a été menée ces derniers jours par les services de sécurité dans les rangs des militants opposés au régime du président Bachar al-Assad.
Wissam Tarif, qui dirige un groupe syrien de défense des droits de l'homme basé à Séville et appelé Insan, a indiqué dimanche que 221 personnes avaient disparu en Syrie depuis le début de la journée de vendredi.
http://www.lexpress.fr/actualite/monde/syrie-l-onu-demande-l-arret-immediat-des-tueries_986110.html
"Les forces de sécurité doivent immédiatement arrêter les tirs à balles réelles contre les manifestants" a-t-elle souligné.
"Le gouvernement a l'obligation internationale légale de protéger les manifestants pacifiques et le droit de manifester pacifiquement", a-t-elle ajouté. "La communauté internationale a réitéré ses demandes urgentes auprès du gouvernement syrien d'arrêter "de tirer sur "son propre peuple", "mais ces demandes sont restées lettre morte".
361 morts et 221 disparus
"Les hommes tirent dans toutes les directions et avancent derrière les blindés qui les protègent", a-t-il ajouté. "L'électricité est coupée et les communications téléphoniques sont presque impossibles", a-t-il précisé.
Le régime du président Bachar al-Assad, malgré ses annonces de réformes telles que l'abrogation de la loi d'urgence et des tribunaux d'exception, persiste à réprimer les manifestations qui ont débuté le 15 mars, selon les opposants et les ONG internationales.
Dimanche, treize personnes ont été tuées et plusieurs autres blessées par les forces de l'ordre à Jableh, près de Lattaquié (nord-ouest), a indiqué lundi un militant des droits de l'Homme à l'AFP.
Ce nouveau bilan porte à au moins 361 le nombre de personnes ayant péri depuis le début du mouvement de contestation, selon des chiffres compilés par l'AFP.
Une vague d'arrestations a été menée ces derniers jours par les services de sécurité dans les rangs des militants opposés au régime du président Bachar al-Assad.
Wissam Tarif, qui dirige un groupe syrien de défense des droits de l'homme basé à Séville et appelé Insan, a indiqué dimanche que 221 personnes avaient disparu en Syrie depuis le début de la journée de vendredi.
http://www.lexpress.fr/actualite/monde/syrie-l-onu-demande-l-arret-immediat-des-tueries_986110.html
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